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         Qu’est-ce que la déprogrammation de traumatismes ?

 

La déprogrammation de traumatismes est une thérapie brève, qui s’inscrit comme une technique sérieuse et spécifique, réalisée par un neuro-thérapeute et permettant à tout être humain dès l’âge de 8 ans de se libérer d’émotions et de sentiments négatifs qui l’empêchent de vivre pleinement et sereinement au quotidien.


Il s’agit de déprogrammer une charge émotionnelle mal vécue et liée à un souvenir de la mémoire du patient, générant ainsi une série de sentiments négatifs.

La déprogrammation de traumatismes est efficace dès la première séance et le résultat va bien au-delà de la seule situation traitée, et permet de stopper la répétition des situations émotionnelles liées au traumatisme et de reprogrammer de meilleures situations émotionnelles. C’est également la déprogrammation d’une charge émotionnelle négative liée à l’avenir et induite par anticipation.

Qu’est-ce qu’un traumatisme ?

Le traumatisme est le résultat d’une perception négative enregistrée par nos cinq sens (VAKOG : ) et bloqué, présent et inachevé. Tous les êtres humains souffrent de ces symptômes à des degrés plus ou moins forts, mais ils ignorent quel évènement traumatique est à l’origine de leurs maux.
Vivre un traumatisme génère un impact physiologique et psychologique. La personne ressent clairement des manifestations physiques ainsi que des émotions et des pensées associées.
Nous réagissons tous différemment face à des évènements similaires : une situation jugée traumatisante pour une personne pour ainsi rester sans effet pour une autre.

A quoi reconnaît-on la présence d’un traumatisme ?

Un traumatisme génère naturellement chez la personne qui en est atteint un impact psychologique et physiologique. Lors d’une déprogrammation de traumatismes, le neurothérapeute accompagne le patient pour permettre à ce dernier d’identifier et de déprogrammer l’émotion négative liée au traumatisme. C’est alors que pourra commencer le processus de guérison.

 Les symptômes peuvent être de différents ordres, aussi bien émotionnels que physiques :

 

• Phobies et peurs irrationnelles
• Problèmes de couple (séparation, adultère, divorce…)
• Troubles alimentaires (anorexie, boulimie, surpoids, régimes…)
• Addictions (drogues, alcool, tabac…)
• Stress
• Troubles du sommeil
• Anxiété, dépression, angoisses, démotivation
• Agressivité, colère
• Deuil
• Problèmes de prospérité financière
• Troubles psychosomatiques (eczéma, psoriasis, migraines, fibromyalgie, douleurs diffuses…)
• Victimes d’un accident, d’agression physique ou sexuelle, d’un harcèlement…

 

Les symptômes d’un traumatisme peuvent également être liés à un évènement à venir, dont l’évocation par anticipation génère une charge émotionnelle trop forte :

• Intervention chirurgicale
• Traitement médical lourd
• Problèmes d’argent
• Examens scolaires, professionnels ou médicaux
• Entretien professionnel
• Code de la route, permis de conduire
• Création d’activité
• Réalisation d’un projet professionnel ou personnel
• Voyage en avion, en train
• Peur panique du futur
• Relations sentimentales, sexuelles
• Etc…

-> Les causes

Les causes d’un traumatisme sont très vastes, et sont intimement rattachées à la mémoire du patient :

• Abandon
• Rejet
• Trahison
• Injustice
• Humiliation
• Etc…

A savoir!

- Test de personnalité offert (sur rdv)

- Une séance dure généralement entre 2h30 et 3 heures.
- La première séance est consacrée à la découverte des traumatismes par le biais de tests, du remplissage de fiches et d'échanges avec le neuro-thérapeute.

- En fonction de l’importance des difficultés de chacun, 2 à 3 séances de déprogrammation peuvent être suffisantes, alors que parfois 4, 5 ou plus seront nécessaires...

- Chaque séances devront êtres espacées d'un mois pour permettre un temps d'intégration.

 

- En aucun cas, un praticien en Détachement Emotionnel ne se substitue au corps médical. Il n’en possède ni le droit, ni les compétences. Seul un médecin a autorité pour intervenir sur un traitement médical et éventuellement le modifier.
 


Age : à partir de 8 ans.
Contre-indications : femme enceinte, schizophrène, épileptique, (traitement antidépresseur à signaler lors du premier rdv).
Précautions : pendant le déroulement de la séance, les yeux fermés, des mouvements oculaires se produisent comme durant les phases de sommeil. Pour cela, le port de lentilles est fortement déconseillé. Il est préférable de prévoir le nécessaire pour ôter les lentilles de contact durant le rendez-vous.

                                                       Fonctionnement du cerveau

 

Comment fonctionne le cerveau et ses deux hémisphères lors d’une déprogrammation de traumatismes ?

 

En l’absence de traumatisme
 

Le cerveau humain est partagé entre deux hémisphères cérébraux, deux structures quasiment symétriques et qui fonctionnent pourtant chacune de façon indépendante. Chaque hémisphère possède en effet ses propres spécificités : si l’hémisphère inconscient est plutôt tourné vers l’émotion et fonctionne alors avec une logique globale, l’hémisphère conscient quant à lui réfléchit de façon spécifique, et sera d’autant plus enclin à rechercher une solution rationnelle pour chaque problème.

Tout au long de la journée, des milliers d’informations sont captées par nos cinq sens : la vue, l’audition, la kinesthésie, l’olfactif et le gustatif (VAKOG). Ces informations sont immédiatement envoyées aux deux hémisphères cérébraux, qui les reçoivent chacun avec leur propre logique.

La nuit, pendant notre sommeil, les deux hémisphères s’échangent leurs propres comptes-rendus sur ces milliers d’informations via un ensemble de fibres nerveuses, appelé le corps calleux et reliant les deux hémisphères l’un à l’autre. La digestion de ces informations par le cerveau nous permet de nous réveiller au matin, plus fort , plus serein et mieux préparé à affronter la journée suivante.

Cette activité neuronale à travers le corps calleux peut s’observer facilement chez une personne endormie, dont les paupières closes semblent agitées par de petits mouvements : le cerveau est alors en pleine « digestion » des informations de la journée.

 

En présence d’un traumatisme
 

Comment se forme un traumatisme au niveau du cerveau ?

Un traumatisme est causé par un choc émotionnel trop lourd et négatif pour permettre un équilibre des deux hémisphères cérébraux. Dès lors, le processus est bloqué : l’émotion négative est jugée trop violente pour être intégrée, et le cerveau choisit de la stocker dans une région spécifique dénommée le limbique.

Pourtant, l’émotion négative est toujours présente. Même stockée dans le limbique, son action négative continue : elle continuera de réapparaître chez le patient à chaque fois qu’une situation identique à la situation d’origine ayant générée cette émotion se présentera.

Des réactions incomprises telles que « C’est plus fort que moi », « Je pleure sans cesse à chaque fois que je pense à … » ou encore « Je suis tétanisée chaque fois que … » résultent ainsi d’un traumatisme.

 

Comment agit la déprogrammation de traumatismes sur le cerveau ?

La déprogrammation de traumatismes permet au neuro-thérapeute de provoquer naturellement et mécaniquement la digestion de l’émotion négative, en faisant revivre au patient les évènements qui en sont à l’origine et en agissant de façon à effacer définitivement le traumatisme qui en a découlé.

Lors d’une déprogrammation, les stimuli réalisés par le neurothérapeute sur son patient permettent aux deux hémisphères de digérer les émotions ressenties par le patient, tandis que ce dernier revit son émotion négative. Le corps calleux transporte alors les informations d’un hémisphère à l'autre, avant de finalement envoyer l’information principale au cerveau. Une prise de conscience s’effectue chez le patient, qui est alors délivré de son traumatisme. Ce dernier a été déprogrammé, il appartient désormais au passé.

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